Valentin Marot : « Carpentras, forcément un gros concurrent »
À l’approche du choc face à Carpentras, nous avons rencontré Valentin Marot, demi de VARL, qui évoque les dernières sorties de son équipe et la rencontre importante du week-end.
Valentin, une nouvelle belle victoire face à Entraigues, que retiens-tu de ce match ?
Je m’attendais à voir une équipe d’Entraigues plus combattante, on aurait dit qu’ils n’avaient pas envie. Ils ont simulé des blessures pour arrêter le match avant la fin et je ne trouve pas ça très correct de leur part. De notre côté je trouve qu’on a réussi à rester assez sérieux malgré les conditions climatiques vraiment difficiles. On a rempli l’objectif fixé par Vincent qui était de ne pas prendre de point. C’est le principal.
Depuis quelques semaines, et après un début poussif, on sent que l’équipe monte en puissance, qu’est-ce qui fait maintenant votre force ?
Je n’ai jamais douté des qualités de notre groupe, mais comme l’an dernier notre indiscipline nous a coûté cher. Chaque week-end il y avait des suspendus et on rajoute à cela les blessés et les suspensions de la Fédé en début de saison. On revient mieux car on récupère tous nos joueurs petit à petit tout simplement.
Tu es associé à Thomas Limongi à la charnière. Comment cela se passe entre vous deux sur le terrain ?
Le système mis en place cette année demande une bonne transition entre les 2 demis et je trouve que notre entente est plutôt bonne.
Carpentras, un concurrent pour le top 2, à quel type de match t’attends-tu ?
Oui Carpentras forcément un gros concurrent surtout quand on sait qu’ils n’ont perdu aucun match sur le terrain. C’est toujours une équipe difficile à jouer, ils sont vaillants et joueurs. Ce sera un match rude et si le temps le permet on verra peut-être un peu de jeu !
Encore en lice dans 3 compétitions, quels objectifs pour cette fin de saison ?
On ne parle pas vraiment d’objectif ensemble, même si on est tous conscients qu’avec notre groupe on peut au moins faire aussi bien que l’an dernier. Pour la Lord Derby, on essaiera d’aller plus loin que l’an dernier pourquoi pas.
Nicolas Jacquemard
