David Gonzalez : « J’ai une relation privilégiée avec chacun d’entre eux »

Nous avons rencontré David Gonzalez, porteur d’eau de Pia, qui évoque son rôle auprès du groupe et la relation qu’il entretient avec les joueurs.

David, peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je suis « le monstre » comme on m’appelle depuis des années (rires). J’ai 36 ans, en couple avec Sandrine, papa d’une petite Eva, 8 ans, supportrice numéro une des Baroudeurs, énorme fan d’ACDC et bien sûr, des copains les Baroudeurs.

Comment es-tu devenu porteur d’eau de Pia ?

Lors du titre en DN2, que j’ai vécu en tant que supporter, Franck Rovira, Gaby Borras et Jean-Bruno Balent m’ont demandé si j’étais intéressé de faire partie de l’aventure. Ce à quoi je n’ai pas hésité une seule seconde. À vrai dire, je n’attendais que ça (rires).

Au delà du rôle que ton titre donne, qu’est-ce que tu essayes d ‘apporter à l’équipe ? Quelle relation as-tu avec les joueurs ?

J’essaye d’écouter les problèmes ou demandes des uns et des autres. J’ai une relation vraiment privilégiée avec chacun d’entre eux.

Qu’est-ce qui est le plus dur selon toi dans la vie d’un groupe sportif ?

Le plus dur, sans hésiter, ce sont les blessures, et en 3 ans nous n’avons pas été épargnés malheureusement.

Quelles sont les 3 qualités indispensables pour être un bon porteur d’eau ?

Être à l’affût du moindre arrêt de jeu, ce que je ne maîtrise pas totalement encore, être prévoyant et attentif au comportement des joueurs sur le terrain.

Tu as gagné tous les titres avec eux, t’es un peu leur porte bonheur ?

Oui c’est vrai (rires). À cause de cela, je ne supporte plus les saisons blanches, comme la saison dernière par exemple.  Nous allons y remédier.

Être porteur d’eau ne te donne pas des envies d’évoluer dans le staff et d’avoir d’autres responsabilités ?

Pas pour le moment. Ce « petit » rôle me va très bien et au moins je reste au plus près de mon ami d’enfance Alexandre Levy avec qui nous nous relayons.

Treize Mondial