France U19, Pierre Fourquet au coeur de l’épopée serbe #7
A quelques jours du premier match des U19 face à l’Italie, nous avons rencontré Pierre Fourquet, pour faire un point sur son avenir au Toulouse Olympique et sur la préparation de l’équipe de France.
Pierre, peux-tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Pierre Fourquet, j’ai 18 ans et cela fait 13 ans que je fais du rugby. J’ai d’abord commencé à XV au Stade Toulousain et ça fait 4 ans que je suis passé au rugby à XIII. Je suis actuellement au centre de formation du Toulouse Olympique.
Qu’as-tu pensé de la saison du TO en Elite 1 ?
La saison en Elite n’a pas toujours été facile mais avec l’effectif que nous avions, nous avons quand même fait nos preuves en battant Palau à deux reprises ainsi que des équipes du haut de tableau tel que Albi ou Avignon.
À titre personnel, es-tu satisfait de tes performances ?
Oui car je ne pensais pas passer toute la saison en Elite 1, juste quelques matchs mais finalement j’en ai fait 12 et ça m’a fait énormément progresser.
Seras-tu toujours au TO l’an prochain ? Si oui, avec quels objectifs ?
Oui je serai toujours au TO au centre de formation avec comme objectif de jouer quelques matchs en Championship et de finir dans les 6 premiers avec l’Elite pour jouer les phases finales.
Comment est physiquement le groupe France après une longue saison et avant le début de la Coupe d’Europe U19 ?
Physiquement le groupe semble très en forme et prêt pour aller en Serbie même si les U19 catalans n’ont toujours pas fini leur saison.
Qu’est-ce que vous a apporté Yohan, le coach mental ?
Yohan nous a beaucoup apporté, il nous a aidé à améliorer notre concentration et savoir passer à autre chose lorsque nous faisions une erreur.
Qu’est-ce que cela représente pour toi de jouer cette compétition avec le maillot de l’équipe de France ?
Pour moi c’est une énorme fierté de pouvoir représenter mon pays contre d’autres nations et de marcher sur les traces de mon père qui a porté ce maillot il y a 40 ans.
Le groupe croit-il en la victoire finale ?
Bien sûr, c’est l’objectif commun et nous ne comptons pas rentrer en France les mains vides.